Matthieu #17 : Ennemi public n°1

Chapitre déterminant

Le chapitre 9 que nous allons lire aujourd’hui dans l’évangile de
Matthieu est capital.

Ennemi public n°1 démasqué

Il va nous montrer l’ennemi public n°1 que Jésus est venu démasquer.S’Il nous a montré qu’Il est homme et Dieu, c’est pour que nous comprenions qu’Il a la capacité de mettre fin aux méfaits du péché par le pardon divin.

Le péché

Le péché : c’est la première fois que Jésus en parle dans l’évangile de
Matthieu.

Pas un autre

Mais attention, nous pourrions nous tromper d’ennemi, de combat, tout comme les contemporains de Jésus. Alors soyons attentifs !

Situation de l’action

Vous vous souvenez, la dernière fois Jésus était de l’autre côté de la
Mer de Galilée, à Gadaraet ; puis Il rentre à Capernaüm, là où il vivait
Ses habitudes, à ce moment de Son ministère.
Matthieu 9. 1-8
1 Jésus monta dans une barque, traversa le lac et se rendit dans sa
ville.
2 Des personnes lui amenèrent un paralysé couché sur une civière.
Voyant leur foi, Jésus dit au paralysé: «Prends courage, mon enfant, tes péchés te sont pardonnés.»
3 Alors, quelques spécialistes de la loi se dirent en eux-mêmes: «Cet homme blasphème.»
4 Mais Jésus connaissait leurs pensées; il dit: «Pourquoi avez-vous de mauvaises pensées en vous-mêmes?
5 En effet, qu’est-ce qui est le plus facile à dire: ‘Tes péchés te sont pardonnés’, ou: ‘Lève-toi et marche’?

6 Afin que vous sachiez que le Fils de l’homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les péchés, lève-toi – dit-il alors au paralysé –, prends ta civière et retourne chez toi.»
7 L’homme se leva et rentra chez lui.
8 Quand la foule vit cela, elle fut émerveillée et célébra la gloire de Dieu,qui a donné un tel pouvoir aux hommes.

Une intention claire de Dieu dans ce texte

Cet évènement est raconté avec plus de détails, par exemple, dans
Marc chapitre 2. Mais le Saint Esprit a voulu que Matthieu donne moins de détails pour que nous nous concentrions sur l’essentiel.

Les mots sont choisis avec importance

Et sur quelques mots clefs. Comment les repérer ?

Détectés avec des répétitions

C’est assez simple, ils sont répétés. Le Saint-Esprit en super pédagogue, pointe souvent ce qui est important, essentiel par des
répétitions.

On les trouve ensemble ?

Quels sont les répétitions particulières que vous détectez dans ce
texte ?
Péché 3x
Pardonné 3x
Pouvoir 2x

2 autres observations

Et on note, aussi 2 autres choses particulières :

• le fait que les spécialistes de la loi sont choqués, alors que la foule est dans la joie ;
• et c’est la foi du groupe qui amène le paralysé qui est le déclencheur de cet évènement. C’est vraiment intéressant !

Le Messie a le pouvoir sur le péché

Jésus n’a pas fait uniquement des guérisons miraculeuses pour montrer Sa divinité, pour soulager les maux des personnes malades,
condamnées, mais pour montrer que cette capacité divine, ce pouvoir divin est la partie visible de ce qu’Il peut faire sur la racine invisible de
tout ce qui pourrit et tue la vie, le péché.

Démonstration marquante

C’est par un contre pied que Jésus le démontre, pour qu’on s’en
souvienne. C’est impossible que quelqu’un atteint de paralysie puisse
d’une seconde à l’autre repartir en marchant, en portant la charge de sa civière en guise de souvenir de l’ancien temps. Physiologiquement,
mécaniquement, neurologiquement, c’est humainement impossible !
Pourtant Jésus le fait, en le déclarant par Sa voix, Il en a le pouvoir !

La même capacité, pouvoir

De même que quand Il dit : « Tes péchés sont pardonnés ! », c’est la
même voix déclarative, c’est la même personne qui a aussi ce pouvoir.

Attribution uniquement possible à Dieu

C’est une bombe que Jésus vient de lâcher. Et les spécialistes de la loi,
à raison, mathématiquement, logiquement, théologiquement – tous les textes de la loi vont dans ce sens – disent qu’Il blasphème, c’est à dire qu’un homme s’attribue des pouvoirs, des attributions réservés à Dieu, en l’occurence sur le pardon des péchés ; leur stupeur est légitime !

Besoin d’une démonstration, explication

D’où le besoin d’une démonstration à la hauteur de l’enjeu de Jésus.

Matthieu 9. 5-7
5 En effet, qu’est-ce qui est le plus facile à dire:
‘Tes péchés te sont pardonnés’, ou:
‘Lève-toi et marche’?
6 Afin que vous sachiez que le Fils de l’homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les péchés, lève-toi – dit-il alors au paralysé –,
prends ta civière et retourne chez toi.»
7 L’homme se leva et rentra chez lui.

Le pouvoir de combattre l’ennemi public n°1

Je note qu’au début du verset 6, Jésus est dans l’information, la
déclaration, la démonstration. Voilà tout l’auditoire informé ! Jésus a ce pouvoir sur l’ennemi public n°1 de l’humanité, le péché.

Pas si évident

Et Jésus va montrer, dans la suite du texte, que le combattre, le débusquer n’est pas si évident.

Les collecteurs d’impôts sont les pires

Lisons la suite du texte. Je l’ai souvent dit, mais les collecteurs d’impôts étaient haïs au plus haut point. Ils travaillaient pour l’envahisseur, profitaient de la situation pour s’enrichir et ils avaient la protection de l’envahisseur pour lever les impôts.

Les frontaliers sont les pires pour beaucoup d’Helvètes

Nous connaissons le même type de haine en Suisse, envers les
frontaliers que nous considérons comme des profiteurs.

Indignation comptable

Alors imaginez, Jésus se rendant à la fête de l’amicale des frontaliers,
notre rectitude comptable s’indignerait…

Indignation théologique

C’est exactement le même type de réaction, ici avec Jésus. La rectitude théologique des religieux n’arrive pas à comprendre comment un tel rabbin, maître, prophète comme Jésus puisse être en compagnie de personnes aussi détestables. Lisons :

Matthieu 9. 9-17
9 Jésus partit de là. En passant, il vit un homme assis au bureau des taxes et qui s’appelait Matthieu. Il lui dit: «Suis-moi.» Cet homme se leva et le suivit.
10 Comme Jésus était à table dans la maison, beaucoup de collecteurs d’impôts et de pécheurs vinrent se mettre à table avec lui et avec ses disciples.
11 Les pharisiens virent cela et dirent à ses disciples: «Pourquoi votre maître mange-t-il avec les collecteurs d’impôts et les
pécheurs?»
12 Mais Jésus, qui avait entendu, leur dit: «Ce ne sont pas les bien portants qui ont besoin de médecin, mais les malades.
13 Allez apprendre ce que signifie: Je désire la bonté, et non les sacrifices. En effet, je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs, [à changer d’attitude].»

14 Alors les disciples de Jean vinrent vers Jésus et dirent: «Pourquoi nous et les pharisiens jeûnons-nous [souvent], tandis que tes disciples ne jeûnent pas?»
15 Jésus leur répondit:«Les invités à la noce peuvent-ils être tristes tant que le marié est avec eux? Les jours viendront où le marié leur sera enlevé, et alors ils jeûneront.
16 Personne ne coud un morceau de tissu neuf sur un vieil habit, car la pièce ajoutée arrache une partie de l’habit et la déchirure devient pire.
17 On ne met pas non plus du vin nouveau dans de vieilles outres,
sinon les outres éclatent, le vin coule et les outres sont perdues;
mais on met le vin nouveau dans des outres neuves, et le vin et les
outres se conservent.»

Touchés par le péché

Le sujet du péché ne concerne pas une élite religieuse.
Le problème du péché n’est pas un sujet de fac théologique.
Le problème du péché concerne ceux qui sont touchés par le péché.

Evident

Et ironiquement, Jésus va dire que ce problème est une évidence pour ceux que l’on sait atteints, chez qui cela semble même caricatural et qui ont besoin de soins. Mais pas pour ceux qui sont bien-portants ? Pour autant y-a-t-il des bien-portants ?

Interrogation par ironie

D’où l’ironie pour que les pharisiens se posent la question pour eux-
mêmes…
Matthieu 9. 12-13
12 Mais Jésus, qui avait entendu, leur dit: «Ce ne sont pas les bien portants qui ont besoin de médecin, mais les malades.
13 Allez apprendre ce que signifie:
Je désire la bonté, et non les sacrifices. En effet, je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs,

Plus important que la mécanique religieuse

Mais Jésus donne une indication précieuse au verset 13. Dieu est plus
touché par la bonté, la grâce que la mécanique religieuse.
Et elle est ancré profondément.

Même mécanique pour les disciples de Jean

Et on retrouve cette mécanique religieuse dans les reproches des
disciples de Jean-Baptiste, au sujet du jeûne. Vous voyez, ce n’est pas
uniquement chez ceux qui interpellaient habituellement Jésus que cette mécanique est native dans le disque dur, dans les pensées et la
manière d’agir avec Dieu.

C’est vraiment une révolution vis-à-vis de comment on interagit avec Dieu

Ce que Jésus met en lumière, c’est une révolution dans la manière de
penser la relation avec Dieu, pour tous les auditeurs de Jésus.

Pourtant rien de nouveau

Pourtant, Il ne fait que citer une vielle citation du livre d’
Osée 6. 6
Je désire la bonté, et non les sacrifices
Il est en train de montrer que le temps est arrivé de vivre

• ce nouveau regard sur Dieu,
• sur la manière de vivre avec Dieu,
• de se concentrer sur la résolution du péché,
• d’accorder moins d’importance à ce qui n’est pas si capital.

C’est le moment

Il va le souligner au travers des 3 courtes paraboles que nous avons lu avec

• le mariage et la joie d’être avec le marié,
• le vieil habit qu’on ne peut pas rafistoler avec un tissu tout neuf sinon c’est pire,
• il en est de même avec les gourdes souples parce qu’on pourrait tout perdre : le vin nouveau dans des outres neuves.
  

Comparaison pour ces 3 paraboles

Ces 3 paraboles comparent le nouveau moment de vie avec Dieu que
Jésus inaugure, focalisé sur la résolution du problème du péché.
Par le Pardon de Jésus a

• la priorité, la joie que l’on met quand on se réjouit avec le marié, Jésus est là ; la joie du moment ;
• au fait qu’on ne va pas inutilement repètassà un vîlyo zabîo avec du tweed tout neuf, sinon ça se déchire encore plus, pas de rafistolage ;
• et faire de même avec les outres souples, sinon elles se crèvent et tout le vin est perdu.
• Du neuf avec du neuf !

La vérité qui se dégage de ces 3 paraboles

En somme, les anciennes manières d’interagir avec Dieu. La mécanique religieuse ne se mixe pas avec la logique de bonté, de grâce et de pardon que Dieu avait annoncée et qui est maintenant mise en place par Jésus.
Réjouissons-nous pour ce moment nouveau !
C’est le moment de l’histoire où Jésus dit de se concentrer sur l’ennemi n°1, le péché si évident chez certains et de toutes façons, présent en chacun.
La meilleure réponse au pouvoir de pardon de Jésus sur le péché, c’est la foi. C’est ce qui a déclenché toute cette séquence.
Vous vous souvenez au verset 2
Matthieu 9. 2
Des personnes lui amenèrent un paralysé couché sur une civière.
Voyant leur foi, Jésus dit au paralysé:
«Prends courage, mon enfant, tes péchés te sont pardonnés.»
Et c’est cette notion de foi qui est relevée dans les épisodes de
guérisons impossibles humainement, dans les passages qui suivent.
Matthieu 9. 18-34
18 Tandis qu’il leur adressait ces paroles, un chef arriva, se prosterna
devant lui et dit:«Ma fille est morte il y a un instant; mais viens, pose ta main sur elle et elle vivra.» 19 Jésus se leva et le suivit avec ses disciples.
20 C’est alors qu’une femme qui souffrait d’hémorragies depuis 12 ans s’approcha par-derrière et toucha le bord de son vêtement, 21 car elle se disait: «Si je peux seulement toucher son vêtement, je serai guérie.»
22 Jésus se retourna et dit en la voyant: «Prends courage, ma fille, ta foi t’a sauvée.» Et cette femme fut guérie dès ce moment.

23 Lorsque Jésus fut arrivé à la maison du chef, il vit les joueurs de flûte et la foule bruyante. 24 Il leur dit: «Retirez-vous, car la jeune fille n’est pas morte, mais elle dort», et ils se moquaient de lui.
25 Quand la foule eut été renvoyée, il entra, prit la main de la jeune fille, et la jeune fille se leva. 26 Cette nouvelle se propagea dans toute la région

27 Quand Jésus partit de là, il fut suivi par deux aveugles qui criaient:
«Aie pitié de nous, Fils de David!»
28 Lorsqu’il fut arrivé à la maison, les aveugles s’approchèrent de lui et Jésus leur dit: «Croyez-vous que je puisse faire cela?»
«Oui, Seigneur», lui répondirent-ils.
29 Alors il toucha leurs yeux en disant: «Soyez traités conformément à votre foi», 30 et leurs yeux s’ouvrirent. Jésus leur recommanda avec sévérité: «Faites bien attention que personne ne le sache!»
31 mais, à peine sortis, ils parlèrent de lui dans toute la région.
32 Comme ils s’en allaient, on amena à Jésus un démoniaque muet.
33 Il chassa le démon et le muet se mit à parler. La foule disait,
émerveillée: «On n’a jamais rien vu de pareil en Israël»,
34 mais les pharisiens disaient: «C’est par le prince des démons qu’il
chasse les démons.»

Eviter le « hors contexte » avec certains de ces versets

Certains de ces versets se font souvent braquer, détourner par des
personnes qui promettent la guérison miraculeuse et quand elle n’arrive pas, se défaussent sur les malheureux qui souffrent, en leur disant qu’ils manquent de foi et prennent appui sur les versets que nous venons de lire.

La structure nous montre l’unité du propos

Mais le sujet, dans le fil du texte, nous amène à souligner la foi de ces
personnes qui sont venues à Jésus parce qu’Il avait le pouvoir de guérir et Jésus, juste avant, souligne qu’Il a le même pouvoir de pardon sur le péché.

La « ponctuation » nous montre l’unité du propos

On une forme « de ponctuation »

• au verset 8 et
• au verset 33, où il y a le même émerveillement de la foule qui nous rappelle l’unité du propos.

Exemple de l’importance de la foi – résurrection –

Mais vous avez remarquez les exemples de foi ?
Une résurrection :
Qu’est-ce qui est le plus facile à dire :
‘Tes péchés te sont pardonnés’,
ou à une fille morte de revenir à la vie ?
Pour le père, ça ne faisait aucun doute que Jésus allait ressusciter sa
fille…

Exemple de l’importance de la foi – guérison hémorragie –

• Sur la femme qui, sans rien dire, est venue toucher Jésus pour être guérie :
  Qu’est-ce qui est le plus facile à dire : ‘Tes péchés te sont pardonnés’, ou à une femme sans solution médicale depuis 12 ans, d’être guérie instantanément ?
  Pour elle, aucun doute, elle a cru que Jésus allait le faire.
  Matthieu 9. 22
  Jésus se retourna et dit en la voyant: «Prends courage, ma fille,
  ta foi t’a sauvée.»
  

Exemple de l’importance de la foi – aveugle –

Pour les aveugles, je remplace, dans les versets de Matthieu 9. 27-30 ,
le sujet de la cécité par celui du péché pour qu’on puisse saisir que les guérisons impossibles sont une démonstration visible de ce que Jésus peut faire au niveau du pardon des péchés, comme au début du chapitre.
Matthieu 9. 27-30
27 Quand Jésus partit de là, il fut suivi par deux pécheurs qui criaient:
«Aie pitié de nous, Fils de David!»
28 Lorsqu’il fut arrivé à la maison, les pécheurs s’approchèrent de lui et Jésus leur dit: «Croyez-vous que je puisse faire cela?»
«Oui, Seigneur», lui répondirent-ils.
29 Alors il toucha leurs coeurs en disant: «Soyez traités conformément à votre foi», 30 et leurs péchés furent pardonné.

L’important souligné dans ces exemples : la foi

Ce qui compte c’est la foi ; peu importe la forme, la manière de faire,
pour s’approcher ou demander à Jésus, ce qui compte, c’est la foi !

Et si maintenant, on passait à la foi dans le pardon que Jésus peut donner sur le péché

Ces personnes étaient certaines que Jésus allait les sauver de la mort,
de la maladie, du handicap, de la possession. Jésus aimerait que tous
puissent comprendre qu’il en est de même pour le pardon des péchés.

Joie globale

Cependant, si deux fois il nous est mentionné que la majorité se sont
réjouis des guérisons de Jésus,

Mais quelques oppositions

ouvertement, le clan religieux se braque pour attribuer ces délivrances au monde occulte.

Finalement qui sont ceux qui blasphèment ?

Ceux qui craignaient au début que Jésus ne blasphème en pardonnant les péchés sont en train de réellement blasphémer, en attribuant les pouvoirs du Fils de Dieu au monde de satan.

LA BASE AVEC LE TEXTE BIBLIQUE

4 choses importantes face au texte biblique

• Dieu
• De son royaume
• L’homme / nous
• Objectif disciples
• Qu’est-ce que cela me pousse à faire ?
• Qu’est-ce que cela me pousse à transmettre ?

Qu’est-ce que j’apprends de Jésus

Seul Jésus a le pouvoir sur le pardon des péchés

Jésus a le pouvoir de pardonner les péchés.
Il le fait ici par anticipation pour ceux qui sont avant le moment de la
croix.

La foi en Lui est le seul chemin

Pour y avoir accès, pas de processus élitistes, religieux.
La foi en Jésus, venir à Lui avec ses mots, en ayant la ferme
conviction que la solution est en Lui seul !

2) Qu’est-ce que j’apprends des hommes ?

Problème le plus important

Le problème du péché est d’importance chez les hommes : Jésus le met à même hauteur que l’handicap invalidant, que la mort.
Humainement, nous sommes face à un mur infranchissable, une
impossibilité.
2 dangers :
Croire que cet handicap est chez les autres ; cet handicap fatal, mortel
n’est pas que chez les autres, il est aussi chez « les bien-portants », il
est chez moi.
L’ennemi public n°1 a trouvé en moi une base arrière où il peut préparer ses méfaits.

Complice

Je suis le complice consentant de cet ennemi public n°1.
Les autres aussi sont complices.
Mais moi je dois résoudre ce problème.
Mon problème du péché.

Me défaire du syndrome de Stockholm
Le terme a été introduit en 1973 après un braquage de banque à
Stockholm, en Suède.
Pendant cet incident, les otages ont développé un attachement
émotionnel envers leurs ravisseurs, allant jusqu’à les défendre après leur libération…
On est pareils avec le péché : c’est ambigu et pourtant il nous tue !

Impossible de faire sans Jésus

Cela amène au deuxième danger, croire que je peux y arriver par des
techniques de volonté, de modernité religieuse ou autres. Toutes se solderont par un échec, et ta mort physique et éternelle…
Seul Jésus est l’unique solution. Jesus seul pardonne !

3) Qu’est-ce que je vais faire cette semaine ?

Évidemment, venir à Jésus !

• Je suis pécheur.
• Tu es le Sauveur.
• Viens à mon secours !

4) Qu’est-ce que je transmets ?

Jesus est ta délivrance !

L’orateur
Patrice Berger est pasteur de l’Église Évangélique Action Biblique Lausanne Renens, depuis août 2016.